J’étais
longtemps en « désaccord » avec les Beaux Arts.
Tout
le « Beau » était déjà mise sur toile, le
20ieme siècle n’avait plus a avoir avec les Beaux Arts
(sauf dans l’art-thérapie), le Beau fait partie de
l’artisanat.
Je
cherchée a rompre avec ce cliché alors et a peindre d’une
manière, que les matériaux bruts et purs, la matière première,
étaient la seule vocation.
Le
mouvement, les gestes pendant la création sont toujours très
important pour moi.
Je
développée mon propre sens d’esthétique et la fascination pour
les surfaces amorphes, épaisses qui me rappellent les murs de pierre
dans les grottes.
La
c’était Beau pour moi !
Et
comme tout œil humain,de fois je découvre des corps et des visages
qui me regardent, des silhouettes qui sortent du murs.
Donc
je les peins (je les laisse venir).
Parfois
je les invente aussi, pour me faire rire, car les personnages dans
mes œuvres sont des êtres ironiques, naturels avec toutes leurs
défauts.
...meine
Bilder sind einem staendigen Wandel unterlegen, bevor sie zu einem
Ruhepunkt gelangen...